Description

Château de Chappe

Château de Chappe est situé dans la région de Centre-val-de-loire. L'adresse exacte est Château de Chappe, Bourges, Cher, France.

La région Centre-val-de-loire de France compte de nombreux châteaux de grande importance et en très bon état de conservation. Il existe plusieurs itinéraires touristiques où ces fantastiques monuments architecturaux sont visités.

Pratiquement tous les châteaux du Centre-val-de-loire (et de toute la France), sont libres d'accès mais il faut payer un billet d'entrée. Sur ce site, nous essayons de maintenir ces prix à jour pour votre information, ainsi que si vous avez besoin d'une réservation préalable en période de forte affluence.

Étant donné que les prix et les horaires peuvent changer sans nous laisser le temps de les mettre à jour, pour connaître les données exactes, vous pouvez :

Description (de l'entrée Wikipedia)

Le télégraphe Chappe (ou télégraphe aérien) est un moyen de communication (télégraphe) visuel par sémaphore, sur des distances de plusieurs centaines de kilomètres, mis au point par Claude Chappe en 1794. Les sémaphores sont en général placés sur des tours dites tours Chappe.

Aujourd'hui, seuls une vingtaine d'exemplaires de télégraphe Chappe subsistent en France, dont certains dans un état précaire (mécanisme disparu).

Description

Les tours Chappe (ou télégraphes de Chappe) prenaient la forme d'une tour carrée, d'une tour ronde, d'une tour pyramidale ou étaient placées sur un clocher.

Une tour Chappe était constituée :

du signal (mât muni d'un régulateur pivotant et de deux indicateurs articulés) ;d'une salle de travail à l'étage où le stationnaire observait les tours voisines et actionnait le système de manœuvre du signal ;d'un local de repos en dessous, où le stationnaire pouvait descendre se reposer un quart d'heure après le coucher du soleil à un quart d'heure avant le lever du soleil.

Deux stationnaires étaient affectés à une tour, et ils se relayaient chaque jour à midi. Ces agents (des militaires réformés généralement) étaient uniquement chargés de transmettre les signaux sans avoir la possibilité de les interpréter, secret militaire oblige. Depuis Paris, Lille en 1794, Strasbourg en 1798 et Brest en 1799 furent les premières villes desservies. Par exemple entre Paris et Brest, 58 stations parsemaient le trajet ; la ligne passait notamment par Le Mont-Saint-Michel.

Mécanisme

Au début, les mécanismes sont construits par les ateliers de l'administration centrale dans les locaux même de l'administration du télégraphe. En 1833, ils étaient construits dans l'atelier Guillaume Jacquemart Atelier pour la confection des télégraphes et autres machines, passage du Désir, faubourg Saint-Denis, numéro 88.

Le mécanisme est constitué :

d'un mât de 7 mètres de couleur bleu ciel en partie extérieure, intégrant une échelle pour accéder aux éléments mobiles et réaliser leur entretien ;d'un bras principal de couleur noire nommé « régulateur », de 4,60 m de long sur 0,35 m de large ;de deux ailes noires nommées « indicateurs », de 2 m sur 0,30 m ;de contrepoids gris pour chaque indicateur, nommés « fourchettes » ;d'un système de manœuvre au pied du mât en salle de travail, nommé « manipulateur », reproduisant à l'identique les positions du signal ;d'un système de transmission par câbles et poulies de renvoi.

Les régulateurs et indicateurs sont munis de persiennes fixes pour réduire la prise au vent.

Le mât et les structures du régulateur et des indicateurs sont en chêne, les persiennes en bois de pin, les poulies en orme, les poignées en frêne, les mécanismes sont en fer, bronze et laiton.

Historique

Communiquer sur de longues distances n’est pas un problème récent. Entre la vitesse du cheval au galop et les débuts du télégraphe électrique, Claude Chappe mit au point un ingénieux système de communication de télégraphe aérien pendant la Révolution. Les « tours de Chappe » étaient coiffées d’un mât mobile, visible à la jumelle de la tour voisine, distante de 10 km à 15 km.

La ligne Paris-Lille fut ainsi opérationnelle dès 1794 à des fins militaires. Il permit de transmettre des messages entre ces deux villes avec une durée de neuf minutes pour transmettre un symbole via une quinzaine de tours ; le temps de transmission d'un message dépendait de sa longueur. La nouvelle de la prise du Quesnoy le 15 août 1794 et celle de la reddition de la ville de Condé le 30 août 1794 furent ainsi connues à Paris, à la Convention, en quelques minutes.

En 1844, 534 tours quadrillent le territoire français reliant sur plus de 5 000 km les plus importantes agglomérations. En 1845, la première ligne de télégraphe électrique est installée en France entre Paris et Rouen, sonnant le glas des tours de Chappe.

Entre 1834 et 1836, le télégraphe Chappe a été utilisé à des fins personnelles par deux hommes d'affaires bordelais afin de connaître avant tout le monde la clôture des cours de la rente à la Bourse de Paris, il s'agit du piratage du télégraphe Chappe.

Chronologie

Claude Chappe définit en 1790 un nouveau projet visant à « mettre le gouvernement à même de transmettre ses ordres à une grande distance dans le moins de temps possible. » Ayant essayé plusieurs solutions, il opte finalement pour la transmission de signes optiques avec observation à la lunette. Les 2 et 3 mars 1791, Chappe expérimente un télégraphe optique avec un système de pendules synchronisées et un panneau optique blanc et noir entre Brûlon et Parcé. Il transmet alors le message suivant : « L'Assemblée nationale récompensera les expériences utiles au public. »

En juin 1791, Claude Chappe s’installe à Paris et réalise des nouvelles expériences à Ménilmontant, sur l'emplacement du cimetière de Belleville à proximité de la rue du Télégraphe qui est le point le plus haut de Paris. Chappe et les commissaires qui le soutiennent tentent d'obtenir l'adhésion du pouvoir politique, afin de généraliser l'usage du télégraphe. Le 22 mars 1792, Chappe soumet une pétition à l'Assemblée législative, dans laquelle il décrit son invention comme « un moyen certain d'établir une correspondance telle que le corps législatif puisse faire parvenir ses ordres à nos frontières et en recevoir la réponse pendant la durée d'une même séance. »

Le député Charles-Gilbert Romme, qui préparait son rapport sur le télégraphe, propose le 12 mars 1793 au commissaire de la Convention en Belgique de substituer ce système à celui des estafettes. Romme présente le 1er avril son rapport à la Convention au nom des Comités de l'instruction publique et de la Guerre, en mentionnant le seul usage militaire du télégraphe. Peu de temps après, le mot télégraphe fait son apparition grâce à André-François Miot de Mélito.

Le 12 juillet 1793, un premier essai est mené sur une distance de 26 km, entre Ménilmontant, Écouen et Saint-Martin-du-Tertre (Val-d'Oise). Le 25 juillet suivant, Claude Chappe est nommé ingénieur télégraphe par décret, et le lendemain, Lakanal présente le rapport qui fait le bilan de l'expérimentation décrétée par la Convention. Chappe adresse une lettre à Lakanal à propos des opposants au projet :

« Comment n'ont-ils pas été frappés de l'idée ingénieuse que vous avez développée hier au Comité [d'instruction publique] et à laquelle je n'avais pas songé ? L'établissement du télégraphe est, en effet, la meilleure réponse aux auteurs qui pensent que la France est trop étendue pour former une République. Le télégraphe abrège les distances et réunit en quelque sorte une immense population sur un seul point. »

Les premiers essais éveillent néanmoins les soupçons de la population et entraînent la destruction de son appareil, moins probablement pour des rumeurs de sorcellerie que pour retarder les communications gouvernementales.

Le 4 août 1793, le Comité de salut public ordonne la mise en place de la ligne Paris-Lille et en confie la réalisation au ministère de la guerre.

Le 30 avril 1794, le télégraphe est testé sur la ligne Paris-Lille.

Le 17 août 1794, Barère, membre du Comité de salut public, annonce à la Convention la prise de Quesnoy dont il a été informé par télégraphe.

Le 30 août 1794, la première dépêche annonçant la prise de Condé-sur-Escaut : «Condé être restitué à République, reddition ce matin 6 heures », grâce à un sémaphore installé sur le mont Valérien.

Le 3 octobre 1794, décision de construire la ligne Paris-Landau (plus tard déviée vers Strasbourg).

En avril 1795, prolongation de la ligne nord vers Bruxelles.

En août 1798, mise en service de la ligne Paris-Brest.

En juillet 1801, essai de nuit entre Ménilmontant et Saint-Martin-du-Tertre sans relais.

En 1805, création de la ligne Paris-Turin.

En 1810, la ligne nord va à Amsterdam et la ligne sud à Venise par Lyon, Turin et Mantoue (124 postes, 1 200 km, par le col du Mont-Cenis).

Une ligne Metz-Mayence existe du 29 mai 1813 à 1814.

En 1821, une ligne entre Lyon, Marseille et Toulon est créée.

En 1834, mise en place de la ligne Avignon-Bordeaux permettant de délester la ligne Paris-Toulon surchargée par les dépêches liées à la guerre en Algérie.

Le 3 mai 1837, loi sur le monopole de la communication en France en réponse à l'affaire du piratage du télégraphe Chappe.

En 1844, 534 tours quadrillent le territoire français reliant sur plus de 5 000 km, 29 importantes agglomérations.

En France, la télégraphie Chappe aura été développée de 1793 à 1854 ; il y aura également une amorce de réseau en Algérie (Alger-Oran et Alger-Constantine en 1853) et Tunisie (Tunis-La Goulette et Tunis-Mohamedia en 1848-1849).

Durant la guerre de Crimée une liaison sera établie en 1854 entre Varna et de Balchik sur la mer Noire.

En 1845, la première ligne de télégraphe électrique, utilisant le code Morse international, est installée en France entre Paris et Rouen, sonnant le glas des tours de Chappe.

En 1855, abandon de la dernière ligne du télégraphe aérien.

Les gros inconvénients du système étaient qu'il ne pouvait fonctionner ni la nuit ni par mauvaise visibilité et qu'il mobilisait beaucoup d'opérateurs (deux tous les 15 kilomètres environ).

Détails de la communication

Signaux télégraphiques

On distingue les signaux de correspondance et les signaux de régulation et de service.

Les signaux de correspondance utilisent une position horizontale ou verticale du régulateur. De plus, la position oblique gauche du régulateur est utilisée pendant la composition des signaux de correspondance.Les signaux de régulation (urgence du message, absence, problème divers, brouillard...) utilisent uniquement la position oblique droite du régulateur.

Les signaux sont valides quand les petites ailes noires nommées indicateurs sont :

repliées sur le régulateur ;ou forment un angle de 45° ou 90° ou 135° avec le régulateur.

La position dans le prolongement du régulateur n'est mécaniquement pas possible. Elle a été abandonnée pour éviter confusion et ambiguïté avec la position repliée sur le régulateur.

Chaque indicateur pouvant prendre 7 positions par rapport au régulateur, ce dernier pouvant en prendre 2, cela nous donne 98 positions possibles (=7*7*2). Positions desquelles on retire 6 signaux de service, ce qui laisse 92 signaux de correspondance pour former le message, ce qui en utilisant 2 signaux par mot ou expression, permet d'avoir un vocabulaire de 8464 mots (=92*92).

Codage

Pour qu'un message soit envoyé et reçu, il devait d'abord être codé en signaux par le directeur de la station de départ, en utilisant le code télégraphique en usage. N'était transmise qu'une suite de signaux.

Transmission

Les stationnaires relayaient les messages observés à la lunette en actionnant le mécanisme de leur tour et en consignant les signaux transmis dans un registre.

Composition d'un signal

Le signal était d'abord composé avec le régulateur à l'oblique gauche. Les indicateurs étaient alors positionnés dans leur position définitive. Le régulateur était alors posté en position verticale ou horizontale pour annoncer la fin de la composition du signal.

Le régulateur était donc positionné en position oblique entre deux signaux, pour permettre la composition du signal.

La position verticale du régulateur avec les deux indicateurs repliés est une position correspondant à un code, mais est également une position permettant un verrouillage de sécurité moderne lorsque les stations actuelles sont à l'arrêt.

Décodage

Le stationnaire de la station destinataire remettait le message en signaux télégraphique au directeur qui décodait le message à l'aide du livre de code.

Si le message à l'arrivée était incohérent, un inspecteur remontait la ligne en comparant le message codé reçu avec le registre des messages de chaque station pour déterminer où l'erreur avait été générée, ce qui permettait de retrouver le message initial et de sanctionner le stationnaire qui avait commis l'erreur.

Réseau

En 1793, une expérimentation est réalisée avec trois stations : Saint-Martin-du-Tertre, Écouen et Ménilmontant.

Ensuite, un réseau de lignes est développé (principales lignes avec périodes d'exploitation) :

Paris - Lille : 1794 - 1847Paris - Metz - Strasbourg : 1797 - 1852Lille - Dunkerque : 1798 - 1801Strasbourg - Huningue : 1799 - 1800Paris - Saint-Malo - Brest : 1799 -Vic-sur-Seille - Lunéville : 1800 - 1801Lille - Boulogne-sur-Mer : 1803 - 1816Lille - Bruxelles : 1803 - 1814Paris - Lyon : 1807 - 1852Lyon-Venise : Lyon - Turin : 1807 - 1814, Turin - Milan : 1809 - 1814, Milan - Mantoue - Venise : 1810 - 1814Bruxelles - Anvers : 1810 - 1813Anvers - Flessingue : 1809 - 1810Anvers - Amsterdam : 1811 - 1813Metz - Mayence : 1813 - 1814Lille - Calais : 1816 - 1852Lyon - Valence - Marseille - Toulon : 1821 - 1852Paris - Tours - Poitiers - Angoulême - Bordeaux - Bayonne : 1822 -Avranches - Rennes - Nantes : 1832 -Avignon - Nimes - Montpellier - Narbonne : 1832 -Blaye - Bordeaux : 1832 -Bordeaux - Agen - Toulouse - Narbonne : 1834 -Cherbourg - Avranches : 1835 -Narbonne - Perpignan : 1840 -Dijon - Besançon : 1840 - 1852Calais - Boulogne-sur-Mer : 1840 - 1852Boulogne-sur-Mer - Eu : 1846 - 1852Bayonne - Béhobie : 1846 -

Une ligne militaire fut utilisée durant la guerre de Crimée [1854 - 1856].

Jusqu'à aujourd'hui, les sites de télégraphe de Chappe, en raison de leurs emplacements, ont été très recherchés pour installer des relais de communications hertziens et, même envisagés pour un type de télécommunications optiques très différent : les liaisons laser [réf. nécessaire].

Listes des Tours Chappe par Ligne

Ces listes cataloguent les tours des lignes de télégraphe Chappe,,,,,,,.

Ligne Paris - BayonneLigne Paris - Toulon (Lyon - Venise)Ligne Avignon - Bordeaux (Narbonne, Perpignan, Toulouse)Ligne Paris - StrasbourgLigne Paris - Brest (Cherbourg, Nantes)Ligne Paris - Lille (Calais, Boulogne)

Le personnel

Ce réseau reposait sur des hommes que l'on répartit en trois catégories principales.

Directeurs

Dans les directions, ils étaient les seuls à avoir accès au code télégraphique et étaient chargé du codage et du décodage des dépêches.

Inspecteurs

Ils étaient chargés de la surveillance d'un tronçon d'une douzaine de stations (appelé division).

Stationnaires

Appelés aussi télégraphiers ou télégraphistes, ils surveillaient les tours voisines et actionnaient les mécanismes des tours pour transmettre les messages. Les télégraphistes connaissaient six signes fonctionnels (appelés signaux de service) et étaient soumis à un régime très sévère de présence. Ils étaient recrutés soit par cooptation, soit parmi des militaires invalides, soit dans la population locale.

Évocations dans la littérature

Ce système est évoqué à plusieurs reprises.

Dans Monsieur Pencil (1831), bande dessinée de Rodolphe Töpffer, un chien tombé sur un bras de télégraphe et son maître y grimpant pour le secourir provoquent une crise internationale en transmettant involontairement des messages inquiétants.

Dans Lucien Leuwen (1834), Stendhal présente une lutte de pouvoir entre Lucien Leuwen et le préfet M. de Séranville auprès du directeur du télégraphe M. Lamorte.

Un des épisodes du roman d'Alexandre Dumas Le Comte de Monte-Cristo (1844) met en jeu le télégraphe Chappe. Il correspond aux chapitres LX et surtout LXI : le Comte de Monte-Cristo corrompt l'employé d'une des tours qui composent la ligne de Paris à l'Espagne et lui fait exécuter d'autres signes que ceux de la dépêche envoyée depuis l'Espagne ; il en résulte à Paris une brève panique boursière où son ennemi Danglars perd une forte somme. Ce passage est pour Dumas l'occasion de décrire assez en détail le fonctionnement d'une ligne de télégraphe Chappe.

Élie Berthet, dans La tour du télégraphe (1869), fait du même thème un roman complet: un jeune homme confiné dans une station télégraphique à la campagne sur la ligne Paris-Bordeaux, découvre un abus du télégraphe pour un délit d'initié par des spéculants à la Bourse.

Dans Romain Kalbris de Hector Malot (1869), une jeune fille nommée Dielette décrit sa maison à Paris : « [...] du seuil de la porte, on voyait en face, contre une haute église, un beau cadran doré; au-dessus, il y avait une petite tour et sur cette tour des grands bras noirs qui, toute la journée, se remuaient de côté et d’autre. Quand j’ai, l’année dernière, parlé de ça à un paillasse de la troupe de Masson, qui venait de Paris, il m’a dit que cette église était l’église Saint-Eustache, et que ces grands bras noirs étaient un télégraphe. »

Dans sa série des Annales du Disque-Monde, Terry Pratchett décrit un système de télégraphe optique fonctionnant à l'aide de sémaphores : les tours clacs. Celles-ci sont directement inspirées du télégraphe Chappe.

Patrimoine actuel

Si certaines tours ont pu être sauvées de la destruction et restaurées, la plupart des tours restantes sont à l'état d'abandon, ou dans le meilleur des cas reconverties à un autre usage, en particulier agricole (pigeonnier, entrepôt de produits chimiques, château d'eau). Toutefois, une douzaine de stations télégraphiques réparties sur tout le territoire français ont été réhabilitées ; six sont protégées comme monuments historiques.

Par ailleurs, à Saint-Nicolas en Belgique, des éléments de télégraphe Chappe sont conservés par le Koninklijke Oudheidkundige Kring van het Land van Waas (K.O.K.W., Cercle royal archéologique du Pays de Waes).

Notes et références

Voir aussi

Bibliographie

Louis Figuier, Les Merveilles de la science ou description populaire des inventions modernes., 1868Marc Gocel, La télégraphie aérienne, t. 1 : La Télégraphie Aérienne de A à Z, Les Presses du Tilleul, Florange, 2001, (ISBN 2-9517739-0-0)Marc Gocel, La télégraphie aérienne, t. 2 : Atlas, Les Presses du Tilleul, Florange, 2001, (BNF 39010662)Georges Galfano, Le Télégraphe Chappe dans l'Aude / Georges Galfano. - Narbonne : Association de recherche historique sur les techniques de communication, 1986.Alfred Jamaux, Le Télégraphe de Saint-Marcan : sur la ligne Paris-Brest du télégraphe Chappe / Alfred Jamaux. - Saint-Malo : Jamaux, A., 2006.Alfred Jamaux, Le Télégraphe du Mont-Dol : sur la ligne Paris-Brest du télégraphe Chappe / Alfred Jamaux - Jamaux, A., 2006Alain Le Pestipon, Le Télégraphe Chappe à Toulouse et dans la Haute-Garonne / Alain Le Pestipon. - Toulouse : Association pour l'histoire des télécommunications dans le Midi-Pyrénéen, 1992.G. Hoogesteeger, De telegraaf van Chappe op de verbinding Antwerpen-Vlissingen, in Annalen 96, 1993, K.O.K.W. (Koninklijke Oudheidkundige Kring van het Land van Waas), pages 297-312Patrice Flichy, Une histoire de la communication moderne, La Découverte, 1991, pp.17-36Laurent Dutertre et Patrick Marie, Le télégraphe Chappe dans le sud de l’Eure, Verneuil sur Avre, Les éditions Association de Sauvegarde des Edifices VEmoliens (ASEVE), 64 p.Tours à signaux : Note sur le télégraphe dit aérien de Claude Chappe

Articles connexes

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Liens externes

Le télégraphe ChappeClaudeChappe.frLe télégraphe Chappe dans Louis Figuier, Les merveilles de la science, t. 2 - GallicaFédération Nationale des Associations de personnel de La Poste et d'Orange pour la Recherche HistoriqueLes Journées d'étude Télégraphie Chappe à la FNARH Portail des télécommunications

Article extrait de l'onglet Wikipédia Château de Chappe. Tous les droits sur cet écrit appartiennent à ses auteurs sous la licence Creative Commons

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