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Description

Château de Franquières (intérieur et extérieur)

Château de Franquières (intérieur et extérieur) est situé dans la région de Auvergne-rhone-alpes. L'adresse exacte est Château de Franquières (intérieur et extérieur), Biviers, Isère, France.

La région Auvergne-rhone-alpes de France compte de nombreux châteaux de grande importance et en très bon état de conservation. Il existe plusieurs itinéraires touristiques où ces fantastiques monuments architecturaux sont visités.

Pratiquement tous les châteaux du Auvergne-rhone-alpes (et de toute la France), sont libres d'accès mais il faut payer un billet d'entrée. Sur ce site, nous essayons de maintenir ces prix à jour pour votre information, ainsi que si vous avez besoin d'une réservation préalable en période de forte affluence.

Étant donné que les prix et les horaires peuvent changer sans nous laisser le temps de les mettre à jour, pour connaître les données exactes, vous pouvez :

Description (de l'entrée Wikipedia)

Biviers est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La commune est rattachée au canton du Moyen Grésivaudan et adhérente à la communauté de communes Le Grésivaudan dont le siège est fixé à Crolles. Ses habitants sont dénommés les Biviérois.

Géographie

Situation et description

Biviers est une commune située dans la vallée du Grésivaudan, à environ une dizaine de kilomètres de Grenoble. Elle compte 2 504 habitants.

De nombreux points de la commune liés à la topographie permettent d'avoir un diaporama. En effet, il est ainsi possible, par temps dégagé, d'apercevoir le Mont Blanc, distant à vol d'oiseau de 140 km, et le mont Aiguille. Le site offre également une vue de toute la chaîne de Belledonne et de la Chartreuse, avec en ligne de mire, la Dent de Crolles, la Croix de Chamrousse, la Croix de Belledonne… ainsi que sur le Trièves et les contreforts du Vercors, au-dessus de Grenoble et le Moucherotte.

Géologie et relief

Depuis les points de Saint-Hugues de Biviers, de l'église et du prieuré et de toute la partie amont de cette ligne, Biviers offre une vue de l'ensemble du bassin grenoblois.

Sise au pied du massif de Chartreuse, le long du mont du Saint-Eynard, dont le relief et la falaise s'offrent sur toute sa longueur, cette configuration offre à Biviers et à ses communes voisines un micro-climat nommé usuellement de « petit Nice ». En effet, la commune de Biviers bénéficie d'un paysage et d'un relief, d'une flore et d'une faune particuliers, complétés par la grande amplitude d'altitude entre son point bas (317 m) et son point haut (1 100 m). Ce micro-climat s'étend de Corenc à Saint-Nazaire-les-Eymes et est géologiquement connu. Il s'explique par l'orientation de la falaise du Saint-Eynard. La végétation locale accueille certaines espèces de pins, ainsi que l'amélanchier, pour ses qualités contre les éboulis de pierres, deux espèces végétales que l'on retrouve près de la côte d'Azur et en Provence.

Biviers, par son exposition géographique et son micro-climat, le tout renforcé en partie par sa topographie, eut une forte activité viticole, jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945). Mais face à la concurrence et aux qualités de vignobles tels les vins de Chignin (Savoie) et malgré les qualités d'expositions géographique et climatique, complété par l'attribution de subventions pour défricher et réduire les productions viticoles, l'espace viticole de Biviers céda de 1945 à 1970, peu à peu. C'est ainsi que les premiers lotissements furent construits à Biviers, les grandes familles propriétaires du foncier ayant meilleur parti à vendre le foncier. Cette tendance est amplifiée par les besoins de logements et les retombées économiques du développement du bassin grenoblois entre 1955 et 1980. Les Jeux olympiques de 1968 ont permis de financer de nombreuses infrastructures routières, telles que l'autoroute Lyon-Grenoble, la voie express Grenoble - Le Touvet qui, en 1975, se transformera en autoroute Grenoble Chambéry.

Communes limitrophes

Climat

La vallée du Grésivaudan où est située la totalité du territoire de la commune, étant orienté sud-ouest, nord-est, le vent y est donc beaucoup moins fréquent que dans la cluse de l'Isère. En particulier, les contreforts du massif de la Chartreuse sont protégés du vent de nord et du vent d'ouest. Le seul vent qui peut y souffler fortement, hors les rafales orageuses, est le vent de sud-ouest, surtout présent en automne et en hiver et il est souvent associé à un effet de foehn amenant une élévation de la température spectaculaire.

En hiver, à l'abri des vents du nord, les coups de froid y sont souvent moins sévères qu'à l'ouest du département, par contre les redoux océaniques sont plus longs à se faire sentir.

Hydrographie

Le territoire communal est sillonné par quelques ruisseaux s'écoulant depuis les falaises du massif de la Chartreuse.

Voies de communication

Urbanisme

Typologie

Biviers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,. Elle appartient à l'unité urbaine de Grenoble, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes et 450 501 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris),.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,6 %), zones urbanisées (26,1 %), zones agricoles hétérogènes (22,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,4 %).

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui).

Risques naturels et technologiques

Risques sismiques

L'ensemble du territoire de la commune de Biviers est situé en zone de sismicité no 4, comme la plupart des communes de son secteur géographique (Massif de la Chartreuse et vallée du Grésivaudan).

Autres risques

Toponymie

Histoire

La seigneurie de Biviers appartint à Abel Servien. En 1655, il la vendit à la famille de Reynold, famille de Gardes suisses.

Biviers est une commune qui date de la fin du XVIIIe siècle. Il y avait beaucoup de fermes de viticulteurs, paysans et agriculteurs.

La mairie

En 1792, le conseil municipal décide de vendre la mairie, trop délabrée, pour racheter l’ancien presbytère. Le curé et un valet de la mairie habiteront dans la maison, composée au rez-de-chaussée d’une écurie, d'une cuisine, d'une salle et de quatre celliers et, à l’étage, de deux chambres et deux cabinets. Au nord, il y a un emplacement au-dessus de la cave, où l’on construira une salle pour le conseil municipal. La commune étant pauvre, ce n'est qu'en 1818 qu’une armoire fermant à clé sera achetée, pour conserver les documents officiels.

Il faudra attendre 1841 pour qu’une grande bâtisse soit achetée pour transférer la maison communale. Sise chemin de Moydieu, elle est massive, banale. Elle a été agrandie, intégrant la maison du vigneron traditionnelle. En 1634, elle apparait sur le parcellaire comme propriété de la famille de Moydieu, dont les membres sont conseillers du Parlement de Grenoble. Maison des champs, elle fournissait à cette famille fruits et légumes, vins et rentes. Au début du XVIIe siècle, elle a été transformée ; on retrouve une entrée sur la façade ouest, qui accède à l’étage par un escalier droit de 120 cm de large. Les marches sont des blocs de calcaire reposant sur les murs d’échiffre, une accolade plate apparait sous plâtre et peinture au-dessus de la porte de l’étage et un plafond à la française dans une pièce signent l’époque.

En 1977, la mairie est transférée chemin de l’Église, après avoir acquis l'ancienne villa de la famille Michal-Sisteron.

Politique et administration

Administration municipale

Liste des maires

Les maires de Biviers au XVIIIe siècleLes maires de Biviers au XXe siècle

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.

En 2019, la commune comptait 2 331 habitants, en augmentation de 0,26 % par rapport à 2013 (Isère : +2,9 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

Enseignement

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.Comme Montbonnot-Saint-Martin, Biviers est divisée pour la continuation de la scolarité. Il y a deux parties séparées par le torrent de l'Aiguille :

les élèves résidant rive droite vont au collège du Grésivaudan à Saint-Ismier ;les élèves résidant rive gauche vont au collège Lionel-Terray à Meylan.

Médias

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Grenoble, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton, de la communauté de communes et quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes

La communauté catholique et l'église de la commune (propriété communale) sont rattachées à la paroisse Saint Martin du Manival, elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne.

Économie

La commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine civilChâteau de Franquières (1er quart du XVIIe siècle (1601-1610) ; aujourd'hui internat)Le parc et les décors intérieurs et extérieurs du château font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 27 octobre 1948. Le parc du XVIIIe siècle est aussi répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel. Le château et son parc fut vendu par la famille Forest durant les années 1950, à l’œuvre des villages d'enfant. Aujourd'hui, le château de Franquières est un institut thérapeutique éducatif et pédagogique (ITEP) qui accueille des enfants en difficulté, essentiellement par leur décalage avec les enfants du même âge. L'OVE leur apporte une structure d'accueil personnalisée et encadrée.Château Servien, dit Serviantin, du XIIIe et XVe sièclesLe château fait l’objet d’une inscription partielle au titre des monuments historiques par arrêté du 4 novembre 1960. Seules les façades et les toitures sont inscrites.Château de Montbives ou MontbivolCette ancienne maison forte du XIIIe siècle fut dans un premier temps une salle de garde, en liaison avec la tour d'Arces de Saint-Ismier, afin de contrôler et surveiller les voies d'accès en provenance de la Chartreuse, par le pas de la Branche et le col de la Faita. Ce poste de garde était sous la gestion de la famille d'Arces qui, avec le château de Méribel à Montbonnot, contrôlait militairement le secteur.À la Renaissance, la famille d'Arces ne suivra pas l'évolution économique en se diversifiant vers des activités de négoces ou de commerce, comme cela fut pour de nombreuses familles d'armes à cette époque.Au lieu-dit Châtelard, des vestiges d'une tour carrée, précédée probablement par une fortification en bois disparue selon Eric Tasset.manoir de Crêt Chatel, du XVIe siècle (tour disparue)plusieurs maisons anciennes sont situées dans la commune : le Bontoux (début du XVIIe siècle), le Belvédère (sous le nom de Perretière il appartint aux chartreux au XVIIe siècle), la maison Chabert (XVIe et XVIIe siècles), la maison Saint-Pierre, la Galisserie, la maison Chaix, l' ancienne mairie (jadis maison Javelle) et la mairie actuelleau Mas de l'église (ou de la côte) se trouve un ancien manoir, jadis appelé Prieuré de l'AbymeChâteau de Plate Rousset, du début du XVIIIe siècleMonument aux morts communal, également dénommé « espace du souvenir », inauguré le 11 novembre 2021.Patrimoine religieuxÉglise de la Compassion de Biviers, romane[réf. nécessaire]église des années 1500Centre Saint-Hugues : situé au pied de la falaise du Saint-Eynard, c'est un lieu d'accueil, de personnes individuelles ou de groupes, dédié au repos, au développement personnel ou encore à la spiritualité. Le lieu se compose de 3 bâtiments (le plus vieux date de 1860), un jardin cultivé, un arboretum et un parc de prairies et de forêts. Le site est ouvert au promeneur.

Patrimoine naturel

La commune fait partie du parc naturel régional de Chartreuse.

Depuis le 11 janvier 2005, la commune de Biviers est incluse pour partie dans le site classé du Massif du Saint-Eynard, du nom du massif qui surplombe la commune. À ce titre, les demandes d'autorisation d'urbanisme et d'occupation du sol concernant ce secteur intégré au site classé sont soumises à avis conforme de la DREAL Auvergne Rhône-Alpes.

Le plan local d'urbanisme (PLU) en vigueur, adopté par le Conseil municipal le 21 mars 2017, identifie plusieurs zones naturelles sur la commune ainsi que des corridors écologiques le long des torrents de la commune, faisant l'objet d'une protection spécifique. La commune dispose également de nombreux Espaces Boisés Classés (EBC) et d'Espaces Végétaux Paysagers (EVP) identifiés dans son document d'urbanisme.

La commune de Biviers, de par sa proximité avec le massif du Saint-Eynard et les torrents qui la traversent, est soumise à de nombreux risques naturels identifiés au sein d'un Plan d'Exposition aux Risques (PER) valant Plan de Prévention des Risques Naturels (PPRN) ainsi qu'au sein d'une carte des aléas, intégrés au PLU et donc opposables aux tiers dans leurs démarches, notamment ce qui concerne les demandes d'autorisation d'urbanisme.

Personnalités liées à la commune

Abel Servien, né à Biviers, ministre de Louis XIV et négociateur du traité de Westphalie (1644-1648)François de Reynold (1642-1722), Lieutenant général, membre du Conseil de la Guerre, Colonel général des Suisses et des Grisons, dont la famille possédait la seigneurie de Biviers, achetée à Abel Servien.Dominique Dubarle (né en 1907 à Biviers), religieux et philosophe. Il collabora avec Leprince-Ringuet à résoudre des problèmes de physique nucléaire, il a écrit Humanisme scientifique et raison chrétienne (1964), La Civilisation et l’Atome (1964), Approche d’une théologie de la science (1967).Jean Silvy (1910-1971), né à Grenoble, compagnon de la Libération. Un hommage lui est rendu sur le monument aux morts de Biviers, village où sa famille possédait une maison, et où il s'est marié,,.Claude Berri, producteur-réalisateur de cinéma français. De confession juive, il a été caché à Biviers durant la Seconde Guerre mondiale. Le film Le Vieil Homme et l'Enfant, tourné en 1966 en partie sur Biviers et à Saint-Vincent-de-Mercuze (Isère), retrace les années de Claude Berri dans la Guerre 1939-1945, lors de son séjour à Biviers.Serge Kampf, né le 13 octobre 1934 à Grenoble et mort le 15 mars 2016, était un homme d'affaires français d'origine suisse, fondateur de Sogeti et ensuite acquéreur de la SSII française Capgemini. Le stade de rugby de Biviers porte son nom depuis le 17 octobre 2015.

Biviers dans les arts

Biviers dans la littératureBiviers au cinéma

Dans sa biographie, le cinéaste Claude Berri relate que deux films ont partiellement été tournés dans le village Biviers :

des scènes de son propre film, Le Vieil Homme et l'Enfant, sorti en 1967, ont été tournées dans la maison appartenant au Dr Chautard.des scènes du film La mariée était en noir, sorti en 1968, a été tournée dans la même maison par le réalisateur François Truffaut appréciait, notamment la maison filmée au cours des scènes présentant l'enfance du personnage principal.

Héraldique, logotype et devise

Notes et références

Notes

Cartes

Références

Voir aussi

Articles connexes

Unité urbaine de Grenoble

Liens externes

Ressources relatives à la géographie : Insee (communes) Ldh/EHESS/Cassini Ressource relative aux organisations : SIREN Site officiel de la Mairie de Biviers Portail des communes de France Portail de l’Isère

Article extrait de l'onglet Wikipédia Château de Franquières (intérieur et extérieur). Tous les droits sur cet écrit appartiennent à ses auteurs sous la licence Creative Commons

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