Description
Château de Rouvray
Château de Rouvray est situé dans la région de Centre-val-de-loire. L'adresse exacte est Château de Rouvray, Chambon, Indre-et-Loire, France.La région Centre-val-de-loire de France compte de nombreux châteaux de grande importance et en très bon état de conservation. Il existe plusieurs itinéraires touristiques où ces fantastiques monuments architecturaux sont visités.
Pratiquement tous les châteaux du Centre-val-de-loire (et de toute la France), sont libres d'accès mais il faut payer un billet d'entrée. Sur ce site, nous essayons de maintenir ces prix à jour pour votre information, ainsi que si vous avez besoin d'une réservation préalable en période de forte affluence.
Étant donné que les prix et les horaires peuvent changer sans nous laisser le temps de les mettre à jour, pour connaître les données exactes, vous pouvez :
Description (de l'entrée Wikipedia)
Saint-Étienne-du-Rouvray est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Géographie
Situation
Située en bordure de la forêt de la Londe-Rouvray, la ville est en plein centre de la Métropole Rouen Normandie, à moins de 10 kilomètres du centre-ville de Rouen.
Hydrographie
Située dans un méandre de la Seine, elle est bordée à l'est par celle-ci.
Voies de communication et transports
Saint-Étienne-du-Rouvray est à une heure et demie de Paris et à une heure et quart de Caen, par l'autoroute A13. La ville est un lieu de passage – et de halte – pour ceux qui venant du Nord de la France, traversent l'agglomération vers la Normandie ou la Bretagne, mais aussi Alençon et Le Mans via l'A28.Depuis juillet 2008, la ville est desservie par la rocade Sud, périphérique du grand Rouen. Elle offre deux accès supplémentaires par le sud au territoire communal, par la Vente Olivier et par le technopôle du Madrillet.
La ligne de chemin de fer Paris - Rouen - Le Havre passe par Saint-Étienne-du-Rouvray, mais elle ne marque pas l'arrêt en gare. La ligne TER Rouen-Elbeuf permet quant à elle un arrêt en gare de Saint-Étienne-du-Rouvray.
L'aéroport le plus proche est celui de Rouen Vallée de Seine, situé à Boos.
Saint-Étienne-du-Rouvray est desservie par le « métro de Rouen » depuis le prolongement vers le technopôle du Madrillet en 1997. La ligne Technopôle traverse la ville avec cinq stations à une fréquence d'une rame toutes les six minutes en heure de pointe. Le tramway permet de rejoindre le centre-ville de Rouen en une vingtaine de minutes et Sotteville-lès-Rouen en quelques minutes.
Six lignes de bus (F3, 10, 27, 32, 33 et 42) s'articulent autour de la ligne de « métro » et offrent la possibilité de rejoindre des communes voisines non desservies par le tramway telle que Oissel.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat complétée par des études régionales prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979 et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau,, où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 805,2 mm pour la période 1981-2010.Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 7 km, la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000 à 10,5 °C pour 1981-2010, puis à 11 °C pour 1991-2020.
Urbanisme
Typologie
Saint-Étienne-du-Rouvray est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,.Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants,.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (63,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (58,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (34,8 %), forêts (29,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (28 %), prairies (3,4 %), eaux continentales (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %).
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctum Stephanum vers 1025, Sancti Stephani en 1032 et 1035, De Sancto Stephano au XIIIe siècle, Sanctus Stephanus en 1337, Saint-Etienne jouxte Rouvray en 1362 et en 1365, Saint Etienne de Rouvray entre 1605 et 1616, Saint Estienne du Rouvray en 1715, Saint Etienne du Rouvray en 1757.
Le nom de la commune est issu de l'hagiotoponyme saint-Étienne et de la forêt de Rouvray qui borde la ville, ce qui donna Saint-Étienne-du-Rouvray. Rouvray dérive du mot rouvres qui, en vieux français, signifie chêne (Quercus Robur), du latin robora. Il désigne alors le territoire d'une chênaie (ou rouvraie).
Histoire
Du néolithique à la révolution industrielle
Le Saint-Étienne-du-Rouvray d'aujourd'hui est l'héritier d'une longue histoire. Des outils néolithiques (2 000 ans av. J.-C.) tout comme des traces d'habitat gallo-romain (200/300 ans apr. J.-C.) témoignent d'une occupation ancienne du site en bordure des zones anciennement inondables, aux alentours de l'actuelle avenue du Bic-Auber.
Un hameau appelé Sancti Stephani et dépendant de l'abbaye de Saint-Wandrille est signalé au IXe siècle dans une charte royale. Marques de l'arrivée puis de l'implantation des Vikings tout au long de la Seine, des toponymes d'origine scandinave (la Haie Brout, les Longs Boëls, le Fossé Roger) se rencontrent encore dans certains quartiers. Le bourg se développe ensuite le long de la route reliant Rouen à Paris. Aux XVe et XVIe siècles, la paroisse compte cinq cents habitants. La population cultive les terres arables en bord du fleuve et pratique l'élevage sur les terres incultes, forêts, landes et taillis. L'église Saint-Étienne, rue de Paris, construite au XVIe siècle, dépendait de l'évêché de Lisieux.
À la Révolution, en 1790, Saint-Étienne-du-Rouvray se constitue en commune avec administration politique. Le bourg commence à prendre son caractère urbain et industriel à partir du milieu du XIXe siècle, avec l'arrivée du chemin de fer et les débuts de la révolution industrielle.
De la ville industrielle à la conscience ouvrière
En 1843, l'arrivée du chemin de fer ouvre la voie au développement de la commune. Les premiers trains à vapeur de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest relient Paris à Rouen. L'arrivée du train favorise l'implantation d'entreprises et le bourg rural devient peu à peu une cité industrielle. En 1865, la Société cotonnière s'implante à Saint-Étienne-du-Rouvray. Elle est alors la plus grosse entreprise de Normandie qui emploiera jusqu'à 2 000 personnes. La ville commence à changer avec l'implantation de nouveaux quartiers construits pour les ouvriers, comme la Cité Neuve, de nouvelles rues…
Au début du XXe siècle, l'ouverture des ateliers ferroviaires de Quatre-Mares (1913), l'arrivée de la Fonderie Lorraine en 1916 et des Papeteries de la Chapelle (1928) viennent renforcer le caractère industriel de la ville. Dans le même temps, les premières grèves et grands mouvements de revendication forgent la conscience ouvrière. 1911 est ainsi marquée par une importante grève des salariés de la Cotonnière qui réclament la journée de 10 heures. Les solidarités s'organisent comme en témoigne la création de l'Émancipation par les ouvriers de la Cotonnière, en 1893. Cette société coopérative obtient des prix bas pour les denrées de première nécessité, mais offre également un secours aux malades et colis aux grévistes.
Après la Première Guerre mondiale, et la révolution bolchevique d'octobre 1917, la conscience ouvrière trouve également une expression politique. En 1923, trois ans après le congrès de Tours qui voit se séparer la majorité communiste (SFIC) de la minorité socialiste (SFIO), Saint-Étienne-du-Rouvray est l'une des premières villes de France à devenir communiste. En 1935, alors que la Société cotonnière ferme, dans un contexte de profonde récession, la commune et de nombreux Stéphanais adhèrent au Front populaire.
Histoire récente
Le 26 juillet 2016, aux alentours de 9 h 25, deux individus islamistes font irruption dans l'église de la ville par une porte située à l'arrière de l'édifice. Ils prennent six personnes en otage, un prêtre, trois religieuses et un couple de fidèles. Les assaillants sont équipés d'armes blanches, dont des couteaux, et de fausses bombes. La police, prévenue par une religieuse qui a réussi à s'échapper, ne peut entrer, les otages étant obligés de faire barrage. La BRI tue les assaillants, sur le parvis de l'église. Le prêtre de l'église, Jacques Hamel, se sacrifie pour sauver ses fidèles, et est égorgé. Le mari d'un couple de paroissiens est quant à lui gravement blessé à la gorge. Daech revendique l'attaque le jour-même.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifsLa commune se trouve dans l'arrondissement de Rouen du département de la Seine-Maritime.
Elle faisait partie de 1801 à 1892 du canton de Grand-Couronne, puis, de 1892 à 1982, du canton de Sotteville-lès-Rouen, année où la commune est scindée entre les cantons de Saint-Étienne-du-Rouvray et Sotteville-lès-Rouen-Est. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électorauxPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 des cantons de Saint-Étienne-du-Rouvray et Sotteville-lès-Rouen.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Seine-Maritime.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté d'agglomération dénommée Agglomération de Rouen (CAR), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1995 par transformation de l'ancien SIVOM de l'agglomération rouennaise institué en 1974.
Cette intercommunalité fusionne avec ses voisines le 1er janvier 2010 pour former la communauté d'agglomération Rouen-Elbeuf-Austreberthe (CREA), qui se transforme en métropole le 1er janvier 2015 sous le nom de Métropole Rouen Normandie, dont est désormais membre Saint-Étienne-du-Rouvray.
Tendances politiques et résultats
Lors des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste d'union de la gauche du maire sortant (PCF) Joachim Moyse — qui avait succédé en 2017 à Hubert Wulfranc comme maire de Saint-Étienne-du-Rouvray après son élection comme député — remporte largement le scrutin dès le premier tour, avec 78,94% des suffrages exprimés (3 599 voix, face aux listes menée respectivement par Brahim Charafi, adhérent au MoDem (13,69 %, 624 voix) et par Noura Hamiche (NPA, 7,37 % 336 voix), l'abstention s'étant élevée à 70,88 %,
Liste des maires
Jumelages
Nordenham (Allemagne). Nova Kakhovka (Ukraine). Felling (Grande-Bretagne).Équipements et services publics
Enseignement
Les écoles de Saint-Etienne-du-Rouvray dépendent de l'académie de Rouen.
Plusieurs écoles, de la maternelle au lycée sont disponibles[Quand ?] aux enfants de la commune :
INSA de RouenTechnopôle du MadrilletLycée Pôle Bâtiment Édouard-le-Corbusier|Collège Paul-ÉluardCollège Louise-MichelCollège Pablo-PicassoCollège RobespierreÉcole primaire Paul-LangevinÉquipements sportifs
Complexe Sportif Youri GagarinePopulation et société
Démographie
Évolution démographiqueL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,
En 2019, la commune comptait 28 352 habitants, en diminution de 1,34 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Le premier recensement fait au XIXe siècle remonte en 1812, Saint-Étienne avait alors 1,328 habitants. En 1857, sa population était de 1,345 habitants. En 1822 : 1,491 habitants ; en 1828 : 1,390 ; en 1836 : 1,494 avec 414 ménages ; en 1841 : 1,482 avec 370 ménages ; en 1846 : 1,585 avec 424 ménages ; en 1856 : 1,580 avec 443 ménages ; en 1861 : 1,633 avec 461 ménages.
C'est à partir de 1863 que commença, par la suite de la construction de la grande usine de la Société Cotonnière, le mouvement ascendant de la population de Saint-Étienne. Au recensement de 1866, on constatait à Saint-Étienne 2,157 habitants, répartis en 565 ménages. En 1872 : 2,153 habitants avec 681 ménages et 614 maisons. Ce recensement qui fut des plus complets portait également sur le nombre des animaux domestiques. Il révélait l'existence à Saint-Étienne de 147 chevaux, 263 vaches, 1 âne, 164 moutons, 32 porcs, 19 chèvres, 130 chiens, 1284 poules, 176 pigeons et 62 canards.
Saint-Étienne-du-Rouvray est la troisième ville de l'agglomération rouennaise en termes de population. Une ville tout à la fois forte de sa jeunesse avec près d'un habitant sur trois âgé de moins de 19 ans, mais également riche de l'expérience de sa population : les plus de 60 ans représentent un habitant sur cinq.[réf. nécessaire]
Pyramide des âgesLa population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,1 % la même année, alors qu'il est de 26 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 13 960 hommes pour 14 540 femmes, soit un taux de 51,02 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,9 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Emplois
Entreprises et commerces
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-ÉtienneÉglise Sainte-ThérèseForêt de La Londe-RouvrayMosquée YahyaLa maison des forêtsCentre culturel « Le Rive Gauche »Rond-point des VachesHéraldique
Personnalités liées à la commune
Jean-Baptiste Rondeaux, né le 1er septembre 1775 à Rouen et mort le 13 novembre 1864 à Saint-Étienne-du-Rouvray. Négociant à Rouen. Maire de Rouen en 1792, conseiller général, député, membre de la chambre de commerce. Grand-oncle d'André Gide.Émile Masqueray, né le 20 mars 1843 à Rouen et mort le 19 août 1894 à Saint-Étienne-du-Rouvray, 129 rue Gambetta, anthropologue, ethnologue, linguiste et écrivain français.Frédéric-Charles, prince de Prusse, né le 6 avril 1893 à Wannsee et mort le 6 avril 1917 à Saint-Étienne-du-Rouvray, membre de la Maison Royale de Prusse, cousin issu de germains (mais par sa mère neveu) du Kaiser Guillaume II, cavalier et pilote de guerre allemand mort de ses blessures.Arthur Join-Lambert, historien, conseiller municipal de Saint-Étienne-du-Rouvray en 1865.Marcel Brout, député communiste, puis collaborateur, mort à Saint-Étienne-du-Rouvray en 1957.L'abbé Jacques Hamel, né en 1930 à Darnétal, prêtre auxiliaire de la paroisse Saint-Étienne, assassiné lors de l'attentat de l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray, le 26 juillet 2016 à 85 ans.Voir aussi
Bibliographie
Bibliothèque Elsa Triolet, Saint-Étienne-du-Rouvray, Bibliothèque Elsa Triolet : 1949 1987 : trente-huit ans d'une association au service des Stéphanais, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1987, 30 p.Centre socioculturel Georges Déziré, Regards sur l’église Saint-Étienne, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2002.Yves-Marie Deniel, Un jour en 1936, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2006.Pierre Duchemin, Histoire de Saint-Étienne-du-Rouvray, Rouen, A. Lestringant, 1892, 391 p.Pierre Duchemin, Histoire de Saint-Étienne-du-Rouvray, Paris, Office d’édition et de diffusion du livre d’histoire, coll. « Monographie des villes et villages de France » (no 1350), 1994 (ISBN 2-84126-078-X)Olivier Gosse, On appelle ça de l'humanité : mémoire du quartier Hartmann des années 1940 à 2008, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2009.Georgette Gosselin, Les débuts du chemin de fer, 89 lithographies de Daumier, 14e festival culturel, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1976.Georgette Gosselin, Lutes d’hier et d’aujourd’hui, 1843-1996 : les communistes de Saint Étienne du Rouvray, Ed. de la section de Saint-Étienne-du-Rouvray du Parti communiste français, 1996Groupe Archives Quatre-Mares, Les Ateliers de Quatre-Mares : huit décennies au service de la réparation des locomotives, Paris, La Vie du rail & des transports, 1996, 311 p. (ISBN 2-902808-63-1)Groupe Histoire & Patrimoine, Saint-Étienne-du-Rouvray au temps du Front Populaire, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2006.Groupe Histoire & Patrimoine, 1866, en avant la musique, 140 ans de pratiques musicales à Saint-Étienne-du-Rouvray, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2007Groupe Histoire & Patrimoine, 160 ans de commerce et d'artisanat stéphanais, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2010Atelier Histoire & Patrimoine, Vivre, survivre, résister : Saint-Étienne-du-Rouvray pendant la Seconde Guerre mondiale, Lyon, Médiris, 2015Guy Pessiot, Les communes de l'agglomération de Rouen, vol. 2 : De Maromme à Ymare, Rouen, Ed. des Falaises, 2007, 261-512 p. (ISBN 978-2-84811-063-9)Guy Pessiot, Histoire de l'agglomération rouennaise : La rive gauche : La Bouille, Grand-Couronne, Grand-Quevilly, Moulineaux, Oissel, Petit-Couronne, Petit-Quevilly, Saint-Étienne-du-Rouvray, Sotteville-lès-Rouen, Rouen, Éd. du P'tit Normand, 1990, 287 p. (ISBN 2-906258-21-0, lire en ligne)Nathalie Ponsard, Lectures ouvrières à Saint-Étienne-du-Rouvray, des années trente aux années quatre-vingt dix : lecture, culture, mémoire, Paris, L'Harmattan, coll. « Logiques historiques », 2007, 341 p. (ISBN 978-2-296-02592-9)Claude Soloy, Saint-Étienne-du-Rouvray de la Préhistoire à 1945, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1971.Saint-Étienne-du-Rouvray (préf. de Michel Grandpierre), Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1980, 65 p.Saint-Étienne-du-Rouvray, Rouen, PTC, coll. « Guides de ville », 2005, 79 p. (ISBN 2-35038-006-8)Saint-Étienne-du-Rouvray, 1986, 24e festival culturel : 1936, le Front Populaire, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1986.Saint-Étienne-du-Rouvray : Citoyen de demain, Paris, Ed. Franciade, 1989, 60 p. (ISBN 2-908151-02-2)Saint-Étienne-du-Rouvray : Citoyen de demain, Paris, Ed. Franciade, 1996, 64 p.Saint-Étienne-du-Rouvray : d'hier à aujourd'hui, Saint-Avertin, Alan Sutton, coll. « Regards croisés », 2013, 128 p. (ISBN 978-2-8138-0640-6, OCLC 847574139)1906-1986, Saint-Étienne-du-Rouvray : une ville, un espace, une histoire, un travail de la classe de 3e3 du collège Pablo Picasso, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1986, 39 p.1959/1999 : Saint-Étienne-du-Rouvray, 40 ans, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1999, 29 p.Articles connexes
Liste des communes de la Seine-MaritimeLiens externes
Site de la mairieNotes et références
Notes
Références
Portail de la Seine-Maritime Portail des communes de FranceArticle extrait de l'onglet Wikipédia Château de Rouvray. Tous les droits sur cet écrit appartiennent à ses auteurs sous la licence Creative Commons